Nous inventions des vies
Au marbre d' une enseigne
Quand nos sangs débordaient
De demains sans mémoire
Pourtant que cherchions-nous
Dans l' odeur fauve
Des chrysanthèmes
Qu' éprouver au plus loin
De nos corps
D' oiseaux ivres
L' échancrure profonde
De la toute première
Mort
...
C'est beau, Agnès.
RépondreSupprimerJe lis et relis.
Ça me laisse sans voix.
merci Michèle, beaucoup..
RépondreSupprimer:)