Il fallait bien qu'il finisse
le soir hurlant en son hiver
Le gris cortège aux têtes dévissées
Il fallait bien s'en défaire
comme d'un manteau glacé de bruine
Nuit de miel noir
enlisée dans nos gorges
J'ai cueilli ton levant
Tisonné de mon souffle une aube gracile
Très beau texte, ..., j'aime beaucoup tes aubes graciles"sans même parler "des têtes dévissées"...
RépondreSupprimerPas facile de s'y remettre.. merci pour les encouragements.
RépondreSupprimerAube... et souffle renaissant.
RépondreSupprimerLes jours rallongent, Agnès, nous verrons clair à minuit.
Beau poème.