Cinq très lents battements d’ailesUn bec dentuEt d’un coup la grive musicienneS’est effacée d’un ciel Désormais sans attente. Pourtant, quelquefois,La nuit se teint encore des souvenirs mourantsDe son chant foudroyé.
Longtemps résonne le ciel vide, du chant des oiseaux disparus..
Et peu à peuC'est le ciel lui-même qui s'en va.Cependant, la rumeur de la grive musicienneTrès longtemps, très très longtempsMurmure encoreComme un ruisseau assoiffé.
Difficile de dire quelque chose après ça.Alors je ne dis rien :)
Je vous entends, pourtant.. :)
Cinq très lents battements d’ailes
RépondreSupprimerUn bec dentu
Et d’un coup la grive musicienne
S’est effacée d’un ciel
Désormais sans attente.
Pourtant, quelquefois,
La nuit se teint encore des souvenirs mourants
De son chant foudroyé.
Longtemps résonne le ciel vide, du chant des oiseaux disparus..
RépondreSupprimerEt peu à peu
SupprimerC'est le ciel lui-même qui s'en va.
Cependant, la rumeur de la grive musicienne
Très longtemps, très très longtemps
Murmure encore
Comme un ruisseau assoiffé.
Difficile de dire quelque chose après ça.
RépondreSupprimerAlors je ne dis rien :)
Je vous entends, pourtant.. :)
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