Ce sentiment déroutant et extrêmement doux, qu'on a rencontré un jour une nuit au détour d'un rêve insistant quelque chose quelqu'un d'insaisissable qui nous a saisi...
Chacun de vos poèmes Agnès une douceur vive de langue
Texte polysémique dû à sa brièveté-même. En effet, qui prend tout son temps ? Le dimanche ou bien celui qui a surgi du sommeil ? Et est-ce le personnage qui surgit d’un long sommeil ou bien la narratrice elle-même qui a rêvé un dimanche matin à celui dont elle nous parle (mais dont elle-même ne sait rien, puisqu’elle ne connaît pas ses mains – et du coup, nous lecteurs, nous en savons pas non plus ce qu’elle aurait voulu qu’il en fît).
Ces mains qui vous ont doucement éveillée de ce long repos, au cours d'un dimanche sans fin, ces mains sont-elles des mains? Une voix, peut-être, innocente et sans intention, rien qu'une voix, une voix ralentie...
Pourquoi pas, Agnès, à entendre ce très beau texte-énigme... Et comme le dit Michèle, doux, doux, très très doux comme un songe sans parole
Ce sentiment déroutant et extrêmement doux, qu'on a rencontré un jour une nuit au détour d'un rêve insistant quelque chose quelqu'un d'insaisissable qui nous a saisi...
RépondreSupprimerChacun de vos poèmes Agnès une douceur vive de langue
Touchée de voir que ces quelques mots font écho..
SupprimerPas si-byllins que ça donc.. :)
Texte polysémique dû à sa brièveté-même.
RépondreSupprimerEn effet, qui prend tout son temps ? Le dimanche ou bien celui qui a surgi du sommeil ?
Et est-ce le personnage qui surgit d’un long sommeil ou bien la narratrice elle-même qui a rêvé un dimanche matin à celui dont elle nous parle (mais dont elle-même ne sait rien, puisqu’elle ne connaît pas ses mains – et du coup, nous lecteurs, nous en savons pas non plus ce qu’elle aurait voulu qu’il en fît).
Bref, oui, les gribouillages initiaux faisaient bien quatre pages..
SupprimerSeules ces quelques lignes ont su résister à la tempête :)
Quatre pages ! On peu dire que depuis vous avez trouvé le sens de la concision :))
SupprimerÉcrire c'est raturer :)
SupprimerCes mains qui vous ont doucement éveillée de ce long repos, au cours d'un dimanche sans fin, ces mains sont-elles des mains?
RépondreSupprimerUne voix, peut-être, innocente et sans intention, rien qu'une voix, une voix ralentie...
Pourquoi pas, Agnès, à entendre ce très beau texte-énigme...
Et comme le dit Michèle, doux, doux, très très doux comme un songe sans parole
Sans parler du titre qui n'est pas une question.
RépondreSupprimerPas une question, non, la réponse semble aller de soi..
SupprimerQuand au reste et bien.. si la douceur est passée, c' est tout ce qui m' importe :)