Dis, combien de rivières
Ont creusé leur lit sur tes joues
Et fait pousser sous ton bonnet
Des bras de poulpe ?
Epouvantail chassant les foules
Le métro est ton seul jardin
Quand s' ouvrent les portières
Qui te crachent sur le quai
Et demain te prendra la camarde
Avec la lassitude du vent
Qui disperse les feuilles
Rivière et mer (poulpe) sont au rendez-vous :))
RépondreSupprimerMême au coeur du métro parisien, c'est une constante de votre imaginaire, chère Agnès.
Mais c'est bien de remarquer l'indigent, que plus personne ne regarde...
Le métro est un océan souterrain, avec ses marées d' ombres et son lot de noyés..
RépondreSupprimerStation "Baie des Trépassés" tout le monde descend. Resquilleur compris.
SupprimerA la rame, tous autant que nous sommes, rejetés par l' ultime déferlante.. :)
RépondreSupprimermagnifique!
RépondreSupprimerc' est gentil d' être revenu vous promener par ici..
RépondreSupprimeret merci pour vos encouragements :)
Great bblog
RépondreSupprimer