Mais le bleu des lilas a teint les sources Et s' est allongé jusqu' aux ombres des caveaux A levé des sèves pour des printemps assoupis
Dans cet avril qui se démène Au son des harpes et des cistres Il faut des chemins d' iris et d' argent Pour que flottent les brumes indécises Par delà les étoiles et leurs voiles violets Et pourpre
Mais le bleu des lilas a teint les sources
RépondreSupprimerEt s' est allongé jusqu' aux ombres des caveaux
A levé des sèves pour des printemps assoupis
Dans cet avril qui se démène
Au son des harpes et des cistres
Il faut des chemins d' iris et d' argent
Pour que flottent les brumes indécises
Par delà les étoiles et leurs voiles violets
Et pourpre
... dans l' ivresse d' un jardin qui n' en revient pas
RépondreSupprimerJ' aime beaucoup ces mots bleu ardoise, Cléanthe..