Ile, sur tes landes empesées de brume
Laisse mes mains se guider aux genêts
Mes lèvres aux parfums de houle
A mes doigts l' arche d' eau
Lèvera tes oiseaux de mer
Dans des nuées d' écailles
Terre assoiffée
Ma bouche se fera puits
Neige ma langue
Sur le feu de tes cils
Sans jamais rien tenir
Que mes bras nus soient brise
A tes jardins de nuit
Que n'ai-je une île éternellement à portée de mes sens.....
RépondreSupprimerEternellement ? Tu as raison.. à bas l' abruti qui a dit que la gourmandise est un vilain défaut.. :))
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