Dans le soir qui ondule je te parle et mes mots
Se perdent avant la mer
( j' ai tant rêvé, pourtant, de ces eaux de safran
et des grands sapins noirs
qui s' écartent radieux
offrant pour lit le ciel
à nos corps soudain graves )
Rouge est la blessure
Tandis que je mâchonne
Et l' absence
Et son cri
Par ton souffle délier le poème
Du vent qui le conduit
La mer alors a-t-elle ôté la fleur de l'âme ou la flamme de l'heure?
RépondreSupprimer:)) non JC, bien sûr que non.. ni la fleur, ni la flamme
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