Et maintenant le feu
Rejoint sa vasque et veille
Sur le jardin d' ombelles où nos corps
Comme des astres prodigues
S' illuminent l' un de l' autre
Amour, Amour qui bat son sang
Dans la paume de nos lits
Lève un soleil de menthe
Sur l' étendue d' écume
Des peaux cardées de nuit
Oh Agnès, ne prends pas feu, nous avons besoin de toi!
RépondreSupprimerRestent toujours des braises sous la cendre qui ne demandent qu' à devenir feu follet.. :)
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