Déjà la terre compte les heures
sous l'édredon de brume
Au fond des flaques, l'astre sonore,
heurte le ciel cendreux
Faut-il se nouer
à l'herbe, au houx
Puiser au creux des mains
la rousseur des fougères ?
Devenir chaque chose en passant
Ecoper les effluves
de dernier jour à vivre
Revoici le corbeau. De son bec asticote,
au miroir des labours, sa part de nuit
Mais les mésanges reviennent, Agnès, il est temps d'accrocher les mangeoires, de mêler le chanvre au tournesol et au beurre, ...
RépondreSupprimerVoilà qui ferait le bonheur de ma tribu de matous.. : )
RépondreSupprimerLes matous bien nourris n'ont pas très envie de courir après des trucs en plumes...
RépondreSupprimerExact. Ils préfèrent se coucher sur les édredons qui en sont garnis. : )
RépondreSupprimerC'est magnifique, vraiment !
RépondreSupprimerMerci ma folle exquise : )
SupprimerOui c'est très fort, comme toujours. Joyeux Noël Agnès.
RépondreSupprimerMerci Michèle. Bonnes fêtes à vous aussi.
RépondreSupprimerOn va attendre la Saint Glin-Glin pour le suivant, chou ?
RépondreSupprimerAh ça, les livraisons en ce moment... : )
RépondreSupprimerC'est vrai, nous vivons des saisons masquées.
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