Ces voies de berges où l' or s' allume
Dans le soir qui s' échauffe, dis-moi
Qu' elles n' auront pas de fin
Qu' en mes aubes de femme
Claires, aux flancs désanglés
Je serai ta captive
Au creux du lit l' eau neuve
D' un fleuve suspendu
L' ondée née de la vague
Baignant l' astre
Aux salines
L'encre comme seul point d'ancrage de ces balancements amoureux, baignés de ciel et d'eau...
RépondreSupprimerLa vague de la mer qui renvoie ici au va-et-vient du corps dans l'acte d'amour.
RépondreSupprimerUne belle image, vraiment.
Merci X et merci Feuilly pour vos mots, du doux roulis aux déferlantes.. :)
RépondreSupprimerVous avez raison: le soleil qui se couche à nos côtés donne à l'amour un ciel de lé.
RépondreSupprimerTu seras tout cela répondit-il :)
RépondreSupprimerou répondit-elle :)
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