Lumière d' astre en écho
Mais celui-là, gisant, n' a rien vu de sa nuit
Ô l' ignoble habitude
De la mort qui ceint
Les chairs qui se chevauchent
( mais parce-que l' écoeurement, la fatigue, parce-que les nues criblées -dard, harpon, rostre-
l' horizon sur béquilles, je veux rouler la pierre au seuil de ta maison )
Hautes terres, nos vergers
Là, mon gouffre solaire
Où tes lèvres fervides
Epuiseront mes sanglots
Épuiser les sanglots..... Combien de temps à rouler la pierre pour y parvenir...
RépondreSupprimerBouleversant.