C' était lui
Papillon des granits
Dans l' oblique
Du soir qui tombait
A deux doigts d' être nu
Le dos luisant
Des salamandres
C' était moi tout à l' heure
Dans ce geste d' enfance
Jusqu' au dernier appui
Où se terre la mort
Et c' était toi
Déjà
Qui tenait ma vie
A un fil
Un frisson
Et puis juste
Comme ça
Vouloir encore
Téter le ciel
...
Vous auriez aimé les contrées dont je rentre à l' instant; le ciel y était laiteux en permanence
RépondreSupprimerDe ces contrées où l' on boit le thé avec un nuage de lait..?:)
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