A l’établi s’exsude la résine
L’âpre bourgeon du matin
Silencieux sous l’écorce
Un sang trop jeune encore
Pour vivre d’ombres
Sur ses labours d’automne
Le grain vert nuit à la meule
Les reins se brisent
A boulanger l'orge si pauvre
Mais ton regard est là
Qui se lie à mes prairies
Problèmes techniques résolus.
A feu coulant (4) et autres perles à retrouver sur le site Epistrophe.
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