Le geste fut si doux
D' ouvrir votre chemise
Et poser dans mes mains
Ce qui battait dessous
J' ai attendu longtemps
Ce mouvement des épaules
Laissé ma peau
Contre vos lèvres
Au fond d' un verre d' alcool
N' emportant que mes os
Ma cage
Le nom
Que vous m' aviez donné
La plage était une coursive
Où faire pisser
Sa solitude
Quand la lune dépitée
Relevait ses filets
...
aimante en allée
RépondreSupprimercouchée sur le côté dans
une chambre de glace
Un poème entre douceur, retenue... et incontinence.
RépondreSupprimerMichèle: Jolie façon de pousser la porte..
RépondreSupprimerMerci Michèle et bienvenue ;)
Gballand: :)) Rien ne vous échappe on dirait..
Cette attente, au fond d'un verre d'alcool, d'un baiser qui ne vient pas, est poignante. Mais qui esquive? Lui ou elle? Elle, malgré son désir et son attente?
RépondreSupprimerElle. Qui ne sait que courir après ce qui lui échappe...
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